mercredi 22 février 2012

Le vestiaire du bestiaire 2/2

Selon une étude menée par des chercheurs britanniques, certains lions à l'état sauvage vivent désormais dans un climat de peur constant en raison de l'ampleur qu'a pris la menace humaine.

Le roi de la jungle semble avoir été dépassé.
Des chercheurs du département de conservation de la faune à l'Université d'Oxford ont mis en évidence un changement radical du comportement des félins et de la manière dont ceux-ci perçoivent leur environnement. Les lions vivent désormais dans un climat de crainte et ce, en raison de son unique prédateur : l'Homme.

On savait le félin oscillant allègrement entre le machisme le plus radical et une oisiveté confinant au désœuvrement vis a vis de la lionne.

Mais si maintenant l'on apprend que le roi des animaux laisse sa part à l'homme, ce symbole de force, de courage et de fougue abandonne sa devise " QUIA NOMINOR LEO" (parce que je m'appelle lion et que ma force fait droit), faut il s'inquiéter pour la virilité du lion ou pour la nocivité de l'homme?



Ce n'est pas parce que le flamant rose dort debout qu'il faut lui raconter n'importe quoi, notamment que notre planète se réchauffe.

En effet, paradoxalement le flamant rose ne supporte pas le froid de canard et particulièrement celui que nous avons connus il y a quelques jours et qui en a décimé plus de 200.

La Dame de qualité ci-contre n'a pas souffert du froid couvant son unique œuf annuel en lisant un roman à l'abri en dégustant des artémias bourrées de caroténoïdes qui lui donne ce joli teint rosé.


Une recommandation cependant: il ne faut pas confondre Dame flamant rose avec l'école du même nom, flamande elle aussi, qui fut célèbre notamment pour sa période rose.

La théorie du buffle





Une horde de buffles va en fait aussi vite que le peut le plus lent de la troupe, et quand la horde est chassée, ce sont les plus lents et les plus faibles qui sont tués en premier.
Cette sélection naturelle est bonne pour le troupeau en général, car elle permet d’améliorer la vitesse et la santé de l’ensemble par l’élimination régulière de ses membres les plus faibles.
A peu près de la même manière, le cerveau humain n’est pas plus rapide que sa cellule la plus lente.
Des ingurgitations excessives d’alcool – nous le savons tous – détruisent des neurones, mais cela attaque naturellement les neurones les plus lents et les plus faibles en premier.
Ainsi, une prise régulière de bière permet, par l’élimination des cellules cérébrales les plus faibles, de faire du cerveau une machine plus rapide et efficiente.

Une troupeau de buffles ne peut se déplacer qu'à la vitesse du buffle le plus lent. Quand le  troupeau est pourchassé ce sont les plus lents et les plus faibles qui sont tués en premier.
Cette sélection naturelle est bonne pour le troupeau en général, car elle permet d’améliorer la vitesse et la santé de l’ensemble par l’élimination régulière de ses membres les plus faibles.
A peu près de la même manière, le cerveau humain n’est pas plus rapide que sa cellule la plus lente.
Des ingurgitations excessives d’alcool – nous le savons tous – détruisent des neurones, mais cela attaque naturellement les neurones les plus lents et les plus faibles en premier.
Ainsi, une prise régulière de bière permet, par l’élimination des cellules cérébrales les plus faibles, de faire du cerveau une machine plus rapide et efficiente.
Une horde de buffles va en fait aussi vite que le peut le plus lent de la troupe, et quand la horde est chassée, ce sont les plus lents et les plus faibles qui sont tués en premier.
Cette sélection naturelle est bonne pour le troupeau en général, car elle permet d’améliorer la vitesse et la santé de l’ensemble par l’élimination régulière de ses membres les plus faibles.
A peu près de la même manière, le cerveau humain n’est pas plus rapide que sa cellule la plus lente.
Des ingurgitations excessives d’alcool – nous le savons tous – détruisent des neurones, mais cela attaque naturellement les neurones les plus lents et les plus faibles en premier.
Ainsi, une prise régulière de bière permet, par l’élimination des cellules cérébrales les plus faibles, de faire du cerveau une machine plus rapide et efficiente.

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