samedi 11 février 2012

Giulio Mazarini et Mounouni




Giulio Mazarini plus connu sous le nom de Jules Mazarin ou du Cardinal Mazarin bien qu'homme d 'église fût longtemps soupçonné d'avoir entretenu des relations que l'on peut qualifier d'étroites avec Anne d'Autriche 
( mère de Louis XIV).


Des recherches iconographiques poussées ainsi que la consultations de plusieurs tonnes de documentations et correspondances à travers divers pays ont aboutis à une trouvaille qui relèguera la découverte de la pierre de rosette et des manuscrits de la mer morte au rang de broutilles insignifiantes.

En effet, après des années de recherches dans des conditions souvent éprouvantes parfois même dangereuses,  nous avons mis la main, dans un recoin d'un obscur musée parisien, sur une vieille croute barbouillée (ci-dessous)


Celle ci s'écaillait par endroit et quelle ne fut pas notre surprise quand, après avoir subtilisé ledit tableau (non sans mal d'ailleurs), nous avons découvert une oeuvre plus ancienne que celui-ci recouvrait.
Il nous a fallu frotter énergiquement à l'aide de white spirit afin d'ôter l'épaisse couche de peinture.
Après plusieurs heures d'un travail acharné nos efforts furent récompensés et apparu, sous nos yeux fatigués mais brillants d'émotion: L'ŒUVRE.....
 

A première vue un portrait datant de la révolution française; un personnage en habit bordeaux le regard énigmatique nous fixant droit dans les yeux.
C'est alors qu'en retournant le cadre, enchâssé à l'arrière de celui-ci, nous découvrîmes un morceau de parchemin.
Écrit en vieux français le message était le suivant" Maurice, Jules Mazarini, surnommé Mounouni, prêtre jureur puis défroqué, fils d'Edmond Cyprien Mazarini et de Dame Ursule de Cazan".
Le patronyme nous sauta aux yeux; était ce possible MAZARIN avait une descendance!!!???
 Nos recherches s'intensifièrent alors; nous écumèrent les bibliothèques, de Paris à Londres en passant par Alexandrie et peu à peu la vérité se fit jour.

Maurice , Jules Mazarini ,qui n'était cité dans les ouvrages que nous consultions que sous le sobriquet de Mounouni, avait été ordonné prêtre en 1778, rapidement il avait pris fait et cause pour les idées de la révolution, avait prêté serment à la constitution civile du clergé puis après avoir suivi un temps Marat puis Danton puis Robespierre et enfin Hébert il fut passé au "rasoir national" de ce dernier.


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